21ème dimanche ordinaire

Temps liturgique:  Temps ordinaire

Jour liturgique:  21ème dimanche

Année liturgique:  Année B

Les deux lectures retenues pour ce dimanche relatent des choix cruciaux : deux groupes, le peuple d’Israël et les Douze y déclarent qu’ils optent pour Dieu ou Jésus. Mais un tel choix n’est pas simple…

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20ème dimanche ordinaire

Temps liturgique:  Temps ordinaire

Jour liturgique:  20ème dimanche

Année liturgique:  Année B

Manger et boire est indispensable à toute vie. A cet égard, les humains ont ceci de particulier qu’ils ne mangent pas n’importe comment. Ils préparent la nourriture, la transforment par la cuisine et la consomment dans un cadre plus ou moins ritualisé qui implique aussi un respect des autres. La thématique est fréquente dans la Bible où, dès les premières pages, s’impose le constat que manger ne va pas sans une certaine violence. Dans les deux pages évoquant la création, la nourriture est donnée par Dieu au moyen d’une parole qui pose des limites, dont le but est de contenir la violence qui y est liée : ne pas manger l’autre être vivant (1,29-30 : nourriture végétale), ne pas accaparer la nourriture pour soi seul (2,16-17 : manger de tout, mais pas tout). C’est ainsi que, d’emblée, le manger et le boire sont porteurs d’une valeur symbolique. Pour vivre, il faut manger, certes. Mais il est tout aussi crucial de se nourrir de la parole de Dieu, de sorte que le désir de vie ne débouche pas sur la mort de soi ou d’autrui.

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Assomption de Marie

Temps liturgique:  Temps ordinaire

Jour liturgique:  Assomption

Année liturgique:  Année B

Cette fois, c’est le Nouveau Testament qui fait l’objet de coupes, l’Apocalypse, en l’occurrence. Dans le texte qui suit, les parties à ne pas lire sont entre crochets : on ne va quand même pas lire une « Star war » avant la lettre, le jour de l’Assomption… Je complète donc le texte [entre crochets].

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19ème dimanche ordinaire

Temps liturgique:  Temps ordinaire

Jour liturgique:  19ème dimanche

Année liturgique:  Année B

Le lien entre le texte de l’Ancien Testament et le passage de l’évangile est une fois de plus superficiel. Je suppose que c’est la phrase « Au désert, vos pères ont mangé la manne, et ils sont morts » qui a présidé au choix du petit extrait de l’histoire d’Élie qui est proposé pour ce di-manche : Dieu, en effet, nourrit le prophète qui vient d’évoquer la mort de « ses pères » (c’est-à-dire les ancêtres du peuple) au désert. Tiré de son contexte, l’extrait devient pour le moins anecdotique… Notre censeur ne semble pas s’en être aperçu (s’il s’en est rendu compte, c’est bien pire !).

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