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16ème dimanche ordinaire

Temps liturgique: Temps ordinaire

Jour liturgique: 16ème dimanche

Année liturgique: Année C

Prédicateur:  Philippe Cochinaux

L’histoire de Marthe et Marie, l’histoire de la râleuse au grand cœur et de l’écoutante silencieuse, nous est bien familière et très souvent, voire trop souvent, on a fait de ces deux femmes les modèles de deux vocations qui se contredisent ou se complètent : la vie active et la vie contemplative. La vie apostolique et la vie de prière. Le dévouement bruyant et l’oraison silencieuse. Mais est-ce cela que le texte veut vraiment dire ? Sommes-nous toutes et tous appelés par cette histoire à devenir l’un et l’autre ? Ces deux attitudes sont-elles les deux facettes d’une même pièce ?

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16ème dimanche ordinaire

Temps liturgique: Temps ordinaire

Jour liturgique: 16ème dimanche

Année liturgique: Année C

Prédicateur:  Philippe Henne

La semaine dernière, nous relisions avec émotion cette très belle parabole du Bon Samaritain, de cet homme, cet étranger, rejeté par les juifs et qui pourtant donne tout son temps pour s’occuper d’un inconnu, un voyageur dévalisé et abandonné par des brigands. Mais voilà qu’aujourd’hui Jésus a l’air de dire qu’il vaut rester auprès de lui plutôt que de courir rendre service aux autres.

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15ème dimanche ordinaire

Temps liturgique: Temps ordinaire

Jour liturgique: 15ème dimanche

Année liturgique: Année C

Prédicateur:  Stéphane Braun

"Maître, que dois-je faire pour avoir la vie éternelle ? " C'est la question d'un docteur de la loi, d'un sage qui connaît bien la loi Juive et les écritures et qui a découvert en Jésus ce quelque chose de plus, de différent qui l'attire et l'interpelle.

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15ème dimanche ordinaire

Temps liturgique: Temps ordinaire

Jour liturgique: 15ème dimanche

Année liturgique: Année C

Prédicateur:  Philippe Henne

Le bon Samaritain prend des risques. Il laisse l’aubergiste maître de toutes les dépenses. Il lui dit : « prends ces deux pièces d’argent ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai ». Ce n’est pas prudent ce qu’il fait là. L’aubergiste pourrait en profiter pour offrir au voyageur maltraité le meilleur des services, le plus cher alors qu’une simple tartine suffirait. Pis encore ! L’aubergiste pourrait en profiter pour faire de fausses factures. Comment le bon Samaritain pourrait-il vérifier si le voyageur a reçu la meilleure viande ou un simple bol de rollmops, car, à cette époque, il n’y avait pas de facture, pas de comptabilité. Alors oui ! le bon Samaritain a été bien imprudent.

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