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Epiphanie

Temps liturgique: Temps de Noël

Jour liturgique: Epiphanie

Année liturgique: Année A

Prédicateur:  Philippe Henne

Eh bien ! Où est-elle passée ? Où est-elle, cette étoile qui a ébloui les mages et les a poussés à la suivre jusqu'à Jérusalem ? Car, vous l'aurez constaté, le texte nous dit que les mages ont suivi l'étoile et qu'ils l'ont perdue à Jérusalem. Comment cela peut-il être possible ? Ne me dites pas que c'est à cause de l'éclairage public. A cette époque, cela n'existe pas. Non, à mon avis, les mages ont perdu l'étoile parce que celle-ci était obscurcie par l'incroyance des habitants de cette ville.

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Epiphanie

Temps liturgique: Temps de Noël

Jour liturgique: Epiphanie

Année liturgique: Année B

Prédicateur:  Philippe Henne

Toute la fête de l’Epiphanie est basée sur le choc des images et des préjugés. Le premier contraste est bien connu et bien apparent : c’est celui qui oppose la gloire et la richesse des mages à la pauvreté et la misère du nouveau-né. Les peintres se sont régalés dans la représentation de ce contraste. A la richesse des vêtements et des parures orientales s’oppose la misère, certes propre et bien faite, mais la misère quand même du nourrisson et de ses parents.

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Epiphanie

Temps liturgique: Temps de Noël

Jour liturgique: Epiphanie

Année liturgique: Année B

Prédicateur:  Didier Croonenberghs

Depuis la nuit des temps, les étoiles ont fasciné le regard et le cœur des humains. Elles sont souvent le symbole de notre destin. Elles nous confrontent à notre avenir, que certains astrologues se plaisent à prédire… Depuis toujours —peu importe les raisons d’ailleurs— les étoiles ont eu une place privilégiée dans l'imaginaire des hommes…

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Sainte Famille

Temps liturgique: Temps de Noël

Jour liturgique: Sainte Famille

Année liturgique: Année A

Prédicateur:  Philippe Henne

Quand on songe à la fête de la Sainte Famille, on ne peut s'empêcher de revoir ces images doucereuses des années30. On y voit un homme barbu qui travaille à son établi, une dame voilée qui tisse un vêtement et un enfant qui joue sagement aux pieds de sa maman. Tout cela est bien doux et paisible, un peu écoeurant comme des gâteaux gorgés de crème fraîche. Et pourtant l'Evangile d'aujourd'hui nous montre une image toute différente de la Sainte Famille. C'est la panique. Ce sont des scènes de panique qui nous sont présentées. C'est dans la hâte que Joseph emporte sa femme et son enfant. C'est une course contre la mort. C'est une course contre la montre. Et c'est là peut-être une première leçon à tirer de cette célébration.

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