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32ème dimanche ordinaire

Temps liturgique: Temps ordinaire

Jour liturgique: 32ème dimanche

Année liturgique: Année B

Prédicateur:  Didier Croonenberghs

Wat is het altijd weer een wonder om in oude teksten zaken te lezen die zo van toepassing zijn in onze tijd. Het is 2500 jaar geleden, net als nu, een turbulente tijd met oorlog en alle bijhorende onzekerheid. Mensen behandelen hun medemens steeds slechter. Het is ieder voor zich. Hele groepen mensen worden weggevoerd.Il y a bien longtemps, lorsque j'étais jeune et innocent à l'école primaire, ?un de mes professeurs avait relevé le défi d'amener toute la classe au musée des beaux arts à Bruxelles, pour une excursion scolaire.J'ai malheureusement presque tout oublié de la visite mais je n'oublierai jamais cette image un peu surréaliste des élèves de ma classe, massés dans le hall d'entrée du musée, autour d'un tronc remplis de pièces et des billets donnés pour soutenir le musée. Ce n'était pas vraiment une ½uvre d'art, mais c'était ce qui avait capté l'attention des turbulents élèves que nous étions, curieusement plus intéressés par l'amassement des devises étrangères dans ce tronc en plexiglas que par les oeuvres de Bruegel l'ancien et de Rubens autour de nous. Je n'ose imaginer les visiteurs amusés nous regardant.komen terug. Het veroorzaakt vele spanningen. Zij die terugkomen, worden scheef bekeken. Dat hun ouders werden weggevoerd, was vast en zeker een straf voor wat ze misdeden. Er kan geen andere verklaring zijn en het leidt tot een soort spreekwoord: Als de ouders onrijpe vruchten eten, krijgen de kinderen stompe tanden. De profeet Ezechiël reageert hier fel tegen. Hij laat daarbij God aan het woord: een zoon hoeft niet te boeten voor de zonden van zijn vader en een vader hoeft niet te boeten voor de zonden van zijn zoon.

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31ème dimanche ordinaire

Temps liturgique: Temps ordinaire

Jour liturgique: 31ème dimanche

Année liturgique: Année B

Prédicateur:  Philippe Cochinaux

Aimer Dieu. Mais comment voulez-vous aimer quelqu'un que vous ne connaissez pas et qu'il n'est pas possible de rencontrer ? me disait un jour une personne. Me revient à l'esprit cette béatitude trouvée dans l'évangile de Jean : « heureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru ». Cette affirmation est le sens même de notre foi, voire de notre liberté.

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Toussaint

Temps liturgique: Temps ordinaire

Jour liturgique: Toussaint

Année liturgique: Année B

Prédicateur:  Philippe Cochinaux

Aux neuf béatitudes que nous venons d'entendre dans l'évangile de Matthieu et que nous retrouvons en partie chez saint Luc, il y a lieu d'ajouter toutes les autres qui se trouvent ailleurs dans les évangiles : « heureux celui qui ne trébuchera pas à cause de moi », « heureux vos yeux parce qu'ils voient », « heureux vos oreilles parce qu'elles entendent », « heureux les entrailles qui t'ont porté », « heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu », « heureux celui qui prendra son repas dans le Royaume de Dieu » et enfin, « heureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru ». A cette liste, nous pouvons encore joindre la bonne douzaine de béatitudes qui se trouvent dans les différentes lettres du Nouveau Testament. Au total, cela nous en fait une petite trentaine.

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28ème dimanche ordinaire

Temps liturgique: Temps ordinaire

Jour liturgique: 28ème dimanche

Année liturgique: Année B

Prédicateur:  Philippe Cochinaux

Marie Balmary dans son livre Le sacrifice interdit, raconte l'histoire suivante : « Lacan, à la fin d'un congrès, où ceux de ses disciples qui avaient pris la parole s'étaient efforcés de soutenir et de continuer la pensée du maître, eut ces mots : '... à entendre les divers orateurs, j'ai eu le sentiment d'être comblé. L'ennuyeux, c'est que comblé par tous ceux qui ont parlé, ça ne m'a pas satisfait ; ça m'a même perturbé quant à l'utilité de ce que je fais. Le manque me manque. Quand le manque manque à quelqu'un, il ne se sent pas bien' ».

N'est-ce pas finalement un peu l'histoire de ce jeune homme riche ? Il est tellement comblé de tout qu'il ne peut se séparer de rien. Il n'ose pas créer du manque en lui. Cela lui donne le vertige. Il n'y a donc rien de plus terrible pour nous lorsque le manque nous manque. Cela signifie que nous sommes devenus pleins de tout. Pire, il n'y a plus aucun espace en nous.

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