25ème dimanche ordinaire

Temps liturgique:  Temps ordinaire

Jour liturgique:  25ème dimanche

Année liturgique:  Année B

En donnant la parole à « ceux qui trament le mal », l’auteur du livre de la Sagesse dé-monte leur logique. Ils voient le juste comme leur ennemi. Par sa façon d’être, en effet, sa seule présence dénonce leur fausseté, dévoile la malignité de leurs agissements et met en lu-mière l’ampleur de leur infidélité aux valeurs transmises par le judaïsme. C’est que, disent-ils, le juste prétend connaître Dieu et vit à contre-courant en s’éloignant de ceux qui – selon lui – se compromettent avec le mal. (Ces compromissions sont évoquées dans les versets 2-11 où l’auteur donne la parole à ces gens que la pensée de la mort certaine précipite dans une jouis-sance débridée et une recherche de pouvoir poussée jusqu’à l’oppression des faibles.)

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24ème dimanche ordinaire

Temps liturgique:  Temps ordinaire

Jour liturgique:  24ème dimanche

Année liturgique:  Année B

La Bible tout entière exprime une conviction forte : Dieu parle aux humains, il s’adresse à eux en vue d’engager un dialogue, de créer la rencontre.

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23ème dimanche ordinaire

Temps liturgique:  Temps ordinaire

Jour liturgique:  23ème dimanche

Année liturgique:  Année B

Encore une fois, le censeur a extrait de son contexte le texte du prophète. Dans le cha-pitre précédent, Isaïe a annoncé un jugement de Dieu contre les nations qui ont combattu Israël, en particulier les Édomites (peuple voisin de Transjordanie), dont le contentieux avec Jérusalem va être enfin réglé. Mais ce jugement n’est pas le mot de la fin. Celui-ci réside dans la venue de Dieu. Les lieux habités que son jugement a transformés en un désert hanté par des bêtes sauvages vont devenir l’endroit où sa gloire va éclater.

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22ème dimanche ordinaire

Temps liturgique:  Temps ordinaire

Jour liturgique:  22ème dimanche

Année liturgique:  Année B

Une partie essentielle de l’Ancien Testament est constituée par la Loi de Moïse. Celle-ci y est considérée comme le plus beau don de Dieu à son peuple, car cette Loi rend possible l’alliance entre eux, et la vie qui en découle. Mais les humains ont cette étrange habitude de dénaturer les meilleures choses pour en faire les pires. Il en va ainsi de la Loi, don par excellence (1re lec-ture), déviée en un carcan enserrant la vie par une tradition sclérosante (évangile).

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